Bonjour tous
Il faut revenir sérieusement à la mathématique Pythagoricienne !
C'est la plus proche, si ce n'est d'ailleurs carrément et circulairement la plus nourrie des mathématiques Égyptiennes...22 années dans les temples pour le bon Pythagore, cela laisse des traces, un parfait formatage...surtout que dans le Delta vivaient dès communautés grecque et Étrusque.
Arnaud, une bonne tétrastys de derrière les fagots, de bonnes suites de nombres à la Fibonacci et détour avec Lucas Pacioli devraient aider à regarder d'un œil ancien, mais neuf, ce gros tas de Pi R
Les papyrus ne sont que conseil, astuce et exercice de base, la science ne s'écrit pas mais se transmet oralement en Egypte.
Ce sera de même chez les grecs et les étrusques. En Grèce ce ne sera que pour une poignée de privilégiés, d'aristocrate.
Platon nous parle des deux aspects de la philosophie, exotérime qui est écrit et transmis à tous et l'ésotérisme, uniquement oral, relation maître à disciple, et comme nous le rappelle Michel Onfray, l'ésotérisme c'était la science des mathématiques...
N'en déplaise aux matheux, ils sont ésotériques...
Nous pouvons toujours courir pour avoir autre chose comme document des sciences des anciens Egyptiens que des exercices d'école comme dans les papyrus. Il n'y en aura jamais d'autres car la transmission n'est qu'orale, vivante.
Vivante dans les pierres et les bois assemblés, taillés, dans les formes et les contours de leurs sculptures, leurs dessins et peintures, leurs mobiliers, leurs instruments de musique et de mesures.
Dans les textes, mais par énigmes et symboles...il suffit de lire le livre de l'Amdouat...
Amitiés
Jean François