Espaces, formes et contours

Records de températures et covid
Avec le confinement, à Paris, les émissions de CO2 ont chuté de 54 % entre le 13 mars et le 13 avril selon Futura Planète. Pour l’Europe, les estimations oscillent entre 25-30 % pour la période de mars et avril 2020.
Le GIEC, qui nous prédit l’apocalypse climatique, ne pouvait espérer mieux en matière de baisse drastique des émissions de CO2. Le covid serait-il bon pour le climat ?
Or, il s’avère que les relevés météorologiques indiquent des records de chaleur pour les 2 mois de confinement.
Cette baisse historique du taux de rejet de CO2 aurait dû être, si l’on se fie aux discours des experts du GIEC, suivie d’une baisse des températures.

Se posent plusieurs questions :
. Attribuer au 0,035 % de CO2 de notre atmosphère un impact majeur sur le climat, n’est-ce pas un tantinet exagéré ?
. Peut-on valider une étude, qui ne retient qu’un seul paramètre, et qui ignore les autres facteurs qui interviennent dans le climat ? Je pense notamment à la précession de équinoxes dont l’influence est loin d’être négligeable et est démontrée par les astrophysiciens.
Astronomiquement.
Michel

Bonjour Michel

https://mythesmanciesetmathematiques.wo ... more-19263

Amitiés

Jean François

https://www.causeur.fr/greta-thunberg-c ... iew-160485

Sans commentaire.

Amitiés.


Michel

Bonjour à tous.

Jean François a supprimé mon commentaire trop restrictif, il m'a juste devancé, qu'il en soit remercié.

Réchauffement climatique, Covid, Raoult, zététiciens, mesures anciennes, en fait même combat contre la bêtise ambiante !

Hello,
Les variations climatiques ont existé de tout temps et sont pour l’essentiel dues :
- au Soleil dont l’activité varie
- à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre
- au phénomène de précession des équinoxes

Les cycles d’activité du soleil :
L'activité solaire a un impact indéniable sur le climat et elle connaît des périodes de suractivité alternant avec des périodes plus calmes. Chaque cycle a une durée d’environ 11ans. Le point suivant abordera l'influence des variations de l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre. La suite dans qqs jours...
Bon WE.
Michel

Influence des variations de l’inclinaison de l’axe de la Terre
L’axe de rotation de notre planète décrit un cercle et revient à sa position initiale chaque 25 800 ans environ. Dans certaines séquences stratigraphiques, les géologues ont observé l’empreinte de ces cycles de 26 000 ans. Précession. Nasa, Mysid.WKM.

Lors de la rotation de la Terre, son axe voit son inclinaison varier.
Moins l’axe de rotation de la Terre est incliné, plus l’énergie solaire reçue se concentre sur une surface réduite, il fait plus chaud. Qui, enfant, en concentrant les rayons du Soleil avec une loupe, n’a pas fait brûler du papier ?
Plus cet axe est fortement incliné, plus les rayons du Soleil vont disperser leur énergie sur une plus grande surface, et la température sera plus basse, c’est aussi ce que vous pouvez observer en hiver ou chaque matin, lorsque que le Soleil est en apparence « bas », c’est la Terre qui tourne autour du Soleil, pas le contraire.

Très schématiquement : 1/ Concentration des rayons du Soleil. 2/ dispersion du rayonnement.

En outre, l’axe de rotation de la Terre est soumis à des oscillations multipériodiques (nutation) qui participent également à modifier l’obliquité de cet axe. Ces oscillations ne sont pas sans effet sur le climat. Rotation de L’axe de la Terre : P Précession. R rotation. N nutation.
(Source WKP. User Herbye. Designed By Dr. H.Sulzer).

À suivre à doses homéopathiques...
Michel

La distance entre la Terre et le Soleil

Pour expliquer les vicissitudes climatiques, sans vouloir trop rentrer dans les détails, il faut non seulement prendre en considération l’inclinaison de notre planète mais aussi les variations de distance Terre-Soleil, phénomène astronomique complexe de la précession des équinoxes.
Chaque année, la date des équinoxes se décale et précède de 26 mn la date des équinoxes de l’année précédente, d’où le nom attribué à ce phénomène de précession de équinoxes. Or il s’avère que la Terre en fonction de la précession des équinoxes pourra se retrouver plus ou moins proche du Soleil et plus ou moins inclinée.
En conséquence, plus la Terre se rapproche du Soleil, plus les températures sur la Terre seront plus élevées. Par contre, plus la Terre s’éloigne du soleil moins les températures seront élevées.

Voici 2 cas de figures qui permettent de visualiser la situation de la Terre en fonction de sa position par rapport au Soleil (source : Youtube, Précession des équinoxes. Mme Bouin): À suivre et bonne semaine.
Michel

Merci Michel, cette précession des équinoxes, que connaissaient nos anciens Égyptiens, dans un ancien empire à l'ère du taureau, Apis, pour entrer au deuxième millénaire dans un moyen empire à l'ère du bélier, Amon, la chapelle blanche de Sésostris I sur la rive de l'Itérou y recevra sa semence pour produire ce que l'on sait...

Et l'ère du Poisson, l'air de rien, fera naître notre ère, du moins qui s'achève, car le Verseau pointe déjà à l'horizon.

Le verseau, les révélations...dans un affreux chaos en perspective, chaos humains bien avant un hypothétique chaos environnemental...

C'est bien la démocratie qu'il faut sauver avant tout, c'est l'humanité qui décide, pas une poignée d'oligarque et leur valet politique...Une fois la démocratie retrouvée l'environnement en toute logique s'harmonisera.

Le monde étant aujourd'hui capitaliste jusqu'en Chine, il n'a donc que l'environnement qu'il mérite...Redevenons des démocraties dans le sens plein du terme, nous pourrons enfin respirer l'air que nous méritons.

Nos mamans galaxies, matrice des étoiles et des soleils, ne sont qu'hydrogène, élément 1, l'unité!

Mouvement perpétuel, nous pouvons produire de l'hydrogène grâce au vent, à l'eau et au soleil, indéfiniment donnant son énergie sans que rien ne se perde...sans aucune pollution.

Il n 'y a pas d'autre salut...Nous l'avons raté dans notre entrée dans le 20 ème siècle, aveuglé par notre colonialisme destructeur.

C'est parce qu'il est l'origine du monde que nous le laissons dans l'invisible et parce qu'il ne coûte rien, tout le monde peut le produire à moindre frais...il est en toute chose et retourne en toute chose après avoir donné son énergie...


Amitiés

Jean François

Bonjour à tous,

Jean- François a écrit :« Mouvement perpétuel, nous pouvons produire de l'hydrogène grâce au vent, à l'eau et au soleil, indéfiniment donnant son énergie sans que rien ne se perde… »
Effectivement, J-François et les plantes chlorophylliennes nous ont devancées de quelques millions d’années, elles sont capables de scinder l’eau en hydrogène et en oxygène, il s’agit en fait d’une sorte d’électrolyse de l’eau en utilisant l’énergie solaire. En biochimie végétale, on parle de photolyse de l’eau puisque ces plantes, pour réaliser cette opération, captent l’énergie émanant de l’astre solaire. Finalement nous n’avons rien inventé.
Très succinctement, lors de la photosynthèse, la plante absorbe et garde en totalité le dioxyde de carbone. Ce processus biochimique complexe est connu et confirmé depuis les années 1960.
Lors d’une conférence sur l’environnement, relevant plus de matraquage idéologique que de l’écologie scientifique, l’orateur affirmait que l’oxygène rejeté par les plantes chlorophylliennes provenait de la scission du CO2, la plante ne gardant que le carbone et rejetant l’oxygène. Il s’avère que cette vision irrecevable va à l’encontre des fondamentaux scientifiques en la matière et induit en erreur…
Très globalement, voici les 2 principales étapes :
1/ la fixation du dioxyde de carbone débute par le cycle de Calvin, que je résumerai par :
Par 5 C+ 1 C (du CO2)---> 2 C3 de cette molécule à 3 carbones dérivera les glucides.
2/ la photosynthèse oxygénique (photolyse de l'eau) :
2H2O ----> O2 + 4H+ + 4 électrons
L’hydrogène sera incorporé dans le processus de synthèse des glucides comme par exemple le glucose C6H12O6 ou l’amidon n(C6H12O6)…
Difficile de faire plus simple, d’autant plus qu’il existe de multiples processus de photosynthèse.
Amitiés.
Michel

Tu m'as appris plein de choses qui sentent bon l'harmonie, je vais étudier de plus près cette question de respiration par la synthèse...

En tous les cas cela bouge, on commence à entendre parler enfin de l'utilisation de l'hydrogène à plus grande échelle, surtout que nos centrales atomiques qui produisent trop d'électricité à certaines heures et que nous ne savons pas efficacement stocker, permettront, le temps qu'il leur reste, la séparation de l'eau en hydrogène et oxygène à grande échelle...

Mais nous pouvons déjà la produire nous mêmes avec une génératrice et une éolienne, de quoi recharger nos piles à hydrogène pour nos voitures.

Aucune pollution, aucune perte pour la terre et l'univers, tout beigne dans l'hydrogène sans gène...

Amitiés

Jean François

Bonjour Jean-François,

"Tu m'as appris plein de choses qui sentent bon l'harmonie, je vais étudier de plus près cette question de respiration par la synthèse..."

J'aurais dû préciser :
- que d'une part, les plantes chlorophylliennes fabriquent, uniquement le jour grâce à l'énergie solaire, leurs propres matières organiques (C+H+O) c-à-d carbonées avec le CO2 de l'atmosphère et de l'hydrogène de l'eau... et cela pour assurer leur fonctionnement, leur croissance et aussi comme les fourmis de la fable pour faire des réserves pour passer la mauvaise saison et repartir au printemps. Le net avantage de l’autotrophie, c’est que les plantes vertes n’ont pas besoin de nous pour vivre.
- que d'autre part, le jour comme la nuit, elles absorbent de l'oxygène et rejettent du CO2, elles respirent.
Amitiés.

Michel