De même que le fond de la pièce de la Cène de Da Vinci, le format de la salle figurée et non réelle, dans le rapport tel que 10 est à Phi quatre (exposant quatre).
Par le tracé c'est simple, mais quelle signification...
Surtout que nous le retrouvons dans le format de la peinture de Piero della Francesca, la Conversation Sacrée, c'est en effet aussi une conversation... géométrique.
Comme le fait remarquer Olivier, le rapport de la hauteur et largeur est de 1.46.
Ne serait-il pas de 10/Phi quatre, soit 1.459, le même que le mur du fond de la salle de la Cène.
Et comme le fait remarquer toujours Olivier la hauteur de la Conversation multipliée par 1.46, nous donne 7 meh nessou, mais aussi la table ronde de la Cène.
On entre là dans des formats et gestes habituels de cette époque de la Renaissance, dans l'alcôve des ateliers, mais bien plus anciens encore, totalement délaissés et recouverts aujourd'hui.
Nous sommes devenus de sacrées cruches à ce sujet dans nos normalisations industrielles répétées comme des moulins à prière, sans ne même plus en reconnaître les causes.
Piero della Francesca est bien parti de 7 meh nessou, soit 10, puis a considéré Phi quatre, soit 2.51 m pour la hauteur de la peinture.
Et c'est le feu d'artifice, une conversation des mesures fondamentales de l'histoire humaine et géodésique, qu'a connu la botte méditerranéenne, tout au long de son histoire:
Table double carré, nous venons de voir ses premières propriétés, il y en a d'autres.
Table carré de même surface, carré de 6 pieds romains( Son histoire Romaine)
Table ronde de même surface, 20 empans de diamètre( La période ogivale et templière)
Le carré périmétrique de la table ronde, 3 meh nessou de côté( des meh nessou qu'ont eu entre les mains les romains depuis des lustres et pour l'anecdote, c'est le côté du pyramidion de Daschour qui a de plus 5 empans de hauteur

).
Alors hasard qui nous taquine, ou lacune impardonnable de nos spécialistes de ces questions, perdus depuis des lustres dans le dédale des mesures anciennes, et qui ont toujours pris les artistes pour des barbouilleurs intuitifs, incapables de science...et de conscience.
Il y a toujours des ruches d'abeilles dans les coins et des oiseaux qui rasent les murs des labyrinthes et une conversation sacrée pour sortir de ce dédale avec un souffle nouveau.
Amitiés
Jean François